Ces petites phrases que j'aurai voulu écrire. [...]

Un manteau de nuit recouvre maintenant ta petite vie et je m'attacherai à toi pour que tu ne t'envole pas.

Juste un signe de toi qui s’enfuit, je m’endors nos lèvres unies.

J'envie de te caresser, j'ai envie de ton baiser, nos lèvres vont se mouiller et nos cheveux vont s'emmêler.

Mais si un jour tu devais t’en aller, est-ce que tu pourrais bien m’emporter mais si un jour tu pouvais tout quitter est-ce que tu pourrais garder notre secret.

On s'est construit et j'ai tout détruit on s'est détruit, on a reconstruit on s'est construit, on a tout détruit, je me suis détruit, on a tout détruit on s'est puni.

Nous on s’endort, on se rêve et puis on fait la mort

Je recherche un endroit pour me cacher et pour me faner en paix.

Est-ce que tu connais les portes du soir, qui font pleurer l’intérieur des filles, les jambes écartées, les yeux qui brillent…

Où tu veux que je te touche, que j’embrasse, où tu veux que je baise, que je fasse sur la bouche.

Ça fait quand même un mal de chien d’être bien.