Triste sire...
Instant poétique, éphémère doux amère. Comme une déchirure, une brulure qui soudainement me ronge. Usé par la vie, tiré par l'envie d'un intouchable instant, c'est le cœur en plein chagrin que j'ouvre ma prose, et sur ce papier virtuel que je l'y dépose. Troublé ma déraison, par ce quelque chose qui me dit "non", je n'ose imaginer ce que serait ton "oui", mon adorée, ma chérie. Suis-je en pleine démence ou ai-je simplement découvert la foi? En un avenir incertain ou en un passé déjà cent fois visité. Je divague et prend le large, pour fuir ce sourire charmeur, pour ne pas me laisser fendre le cœur. Mais ce dernier déjà est blessé, de t'avoir laissé filer. Je ne suis personne, et ces maux ici raisonnent comme une histoire de plus ajoutée aux milles autres déjà contées... Comme une plaie qui demain sera guérie, je dépose à tes pieds ce billet, lui aussi presque fini. Je finirai par cette envolé qu'à un autre j'ai volé "j'ai touché sa cuisse, et la mort m'a sourit".
Lo.
Glisse la plume... Le long des rails qui me ramène dans mon chez moi chaque soir.
Tout va bien hein... Mais la plume ce soir était pour d'obscures raisons plutot mélo ce soir dans le métro (RER, mais ca ne rîme pas... xD)